Sujet: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Ven 25 Juin - 10:31
L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL,NON ?
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« Cher Journal, C'est une journée étonnement normale je trouve. Enfin si on peut appeler « normale » ma vie maintenant qu'Elizabeth m'a tout raconté. Quand je dit normal, je pense plutôt qu'il n'y à plus ce temps lourd et bizarre. Il fait beau, tout simplement, et on ne dirait plus qu'un orage va éclater à tout moment. Damon doit être particulièrement calme aujourd'hui si j'applique ce que Liza m'a dit. Ne serait-ce que par une des fenêtres du Cambden Grill on voit le ciel bleu sans aucun nuage. » Mais que faisait donc Elena Anderson au Cambden Grill par un merveilleux samedi matin sans aucune trace de surnaturelle ? Et bien figurez vous qu'elle en avait marre de rester chez elle à flipper toute seule dans sa chambre ! Elena s'était levée à sept heures, avait aperçu le ciel bleu et elle s'était dit « Si ce stupide vampire sado-démoniaque doit me tuer, autant qu'il le fasse quand il fait beau ! » Et à sa plus grande surprise, elle était sortie sans même être angoissée. Mais Cambden n''était pas une très grande ville et on en à vite fait le tour, même à pied. Donc vers dix heures et demi, la jeune brune était passée chez elle pour récupérer son sac à main et son journal et avait filer là où elle allait toujours quand elle s'ennuyait – du moins où elle allait toujours quand elle s'ennuyait quand elle ne connaissait pas les vampires – au Cambden Grill, ce petit bar charmant fréquenté par tout les lycéens Cambdeniens qui y aller pour organiser des soirées, jouer au billard ou essayer de soudoyer les barmans pour avoir le droit de boire de l'alcool alors qu'il n'avaient pas vingt-et-un ans. Elena ferma le petit cahier relier de cuir, reboucha son stylo et remit le tout dans son sac posé sur la table puis elle s'appuya sur la banquette et essaya de se rappeler comment c'était avant. Avant c'était une jeune américaine type. Elle faisait partie de l'équipe des Pom-Pom girls, elle avait toujours de très bonnes notes – les meilleures de son établissement -, elle avait des amis on ne peut plus normaux, elle était célibataire. Elle adorait sortir avec ses amis normaux dans des endroits normaux comme le cinéma ou aller faire les boutiques avec ses copines. Elle organisait toujours des soirées pyjama avec les Cheerleaders et elle était très souriante. Maintenant, Elena n'est plus une américaine type parce que toutes les américaines ne sont pas impliquées dans des complots extraordinaires. Elle fait toujours partie de l'équipe des Pom-Pom girls, elle à toujours de bonnes notes et elle est toujours célibataire. Mais maintenant, les amis d'Elena Anderson ne lui apparaissent plus comme « normaux ». Plus personne n'apparaît comme normal à ses yeux car tout le monde est peut être impliqué dans ce complot bizarre. Elle organise toujours des soirées pyjama, elle sort toujours mais moins fréquemment. Elle est toujours souriante de l'extérieur mais à l'intérieur, elle flippe en permanence. Et par ce samedi matin ensoleillé, la Elena qui était sortie de chez elle sans s'angoisser n'est plus là. La nouvelle Elena, celle qui à remplacé l'ancienne quand elle à parlé avec sa confidente à pris sa place. Par contre elle est toujours adossée à une banquette du Cambden Grill à regarder les gens passer et à se demander combien d'entre eux sont des vampires.
Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Sam 26 Juin - 13:07
Aujourd'hui, je devais la trouver, celle qui détient mon secret comme Elizabeth, elle doit avoir peur à chaque instant, je dois la trouver, absolument, une question de vie ou de mort, elle pourrait tous révéler. Je la trouverez coûte que coûte. Tient, c'était plus facile que je ne le pensais, elle est au Cambden Grill, j'ai plus qu'à la draguer et la tuer ou je m'en sert de jouet comme Elizabeth. Pourquoi, j'ai besoin de sang pour ma force, pour mes pouvoirs, pour avoir peut-être l'occasion de gouverner cette ville, de faire de se monde la terreur, d'être le roi suprême, que tout le monde me vénère. J'y arriverais avec de la force, j'y arriverais avec du sang, de l'amour, en gros avec toutes ses filles à mes pieds.
J'entrais dans le Cambden Grill, elle était à une table toute seule, je m'approchais d'elle avec mon allure que toutes les filles aiment. Je m'avançais jusqu'à arriver à elle, je la regardais et demanda:
-Puis-je m'asseoir ici ?
Je ne dirais pas mon nom, elle me connais, elle paniquera et le hurlera. Ce n'est pas se que j'attendais d'elle. J'appela un serveur pour qu'il me serve un verre, enfin pas pour moi, pour elle, pour qu'elle prenne confiance en moi.
-Bonjour ! Je connais ton secret, n'est pas peur. Suis moi.
Je la regarda, elle avait l'air intrigué, était-elle charmée ou inquiète. J'attendais une quelconque réponse, elle devait me croire, enfin pour se faire avoir. Je l'a tuerais comme chacune des personnes qui seraient mon secret. Elle elle le savait, elle avait peur, je dois lui en débarrasser en bon gentleman. Je me leva et la regarda encore, elle était belle, dommage que je sois obligé de la tuer...
Elena C. Anderson
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Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Dim 27 Juin - 13:16
L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL,NON ?
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Toujours perdue dans la contemplation des gens – tous plus bizarres les uns que les autres – du Cambden Grill, elle ne se rendit même pas compte du jeune homme qui avançait vers elle. Elle sursauta.
DAMON - « Puis-je m'asseoir ici ? »
Après tout, Elena n'allait pas refuser. Elle n'en avait pas envie, de refuser, parce que cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas discuté avec quelqu'un de normal et c'était encore mieux quand ce quelqu'un était beau à tomber. Elle ne l'avait jamais vu avant, et pourtant elle connaissait tout le monde à Cambden. Enfin, elle ne s'attarda pas sur la question. Il y avait des nouveaux habitants dans toutes les villes, et ce n'était pas parce que Cambden regorgeait de surnaturel qu'elle faisait exception à la règle ! Elle ne répondit pas et il s'assit en face d'elle. Il se commanda un verre. Ou un verre pour elle peut être. Quoi qu'il avait forcement remarqué qu'elle n'avait pas l'âge. Elena avait beau faire largement ses dix-neuf ans, elle ne donnait pas du tout l'impression d'en avoir vingt-et-un.
DAMON - « Bonjour ! Je connais ton secret, n'ai pas peur. Suis moi. »
Elle le fixa d'un air intrigué. Elle n'avait pas de secret. Le seul secret qu'elle avait été celui qu'Elizabeth lui avait confié sur les... Oh mon Dieu ! Elle dévisagea le brun et un éclair d'horreur traversa son esprit. Comment sa confidente lui avait décrit Damon Salvatore déjà ? Grand, brun, les yeux bleu presque gris, et beau comme un Dieu – C'était Elizabeth qui avait dit ça ! Elena s'attarda sur ses yeux. Ils étaient en effet très clair. Pourquoi fallait-il que, dès qu'elle rencontre quelqu'un qui s'avérait normal, il se révélait en fait être un vampire ou avoir des choses impossible à révéler ?! Mais elle n'avait pas peur parce qu'il ne tenterait rien en public.
ELENA - « Je suis bien ici, merci. Et il n'y a aucun secret que j'ai envie de partager avec toi Damon. »
Lui dit-elle d'une voix la plus naturelle du monde. C'était mal ce qu'elle faisait. C'était mal de faire face à un vampire en colère. « Et alors ? Ça va juste blesser son égo surdimensionné. » se dit Elena avec un petit sourire ironique. La Elena d'avant était de nouveau de sortie, et elle ne comptait pas se laissait marcher sur les pieds, même devant un vampire qui voulait la tuer. Même si ce vampire était le sublime Damon Salvatore qui abusait déjà d'un de ses meilleures amies. Et puis quoi encore ?!
Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Dim 27 Juin - 19:17
Elle me regarda et me dit: -Je suis bien ici, merci. Et il n'y a aucun secret que j'ai envie de partager avec toi Damon.
Damon, comment c'est-elle que je m'appelle comme ça, ça doit être Elizabeth qui a du lui dire. Bref, il faut absolument que je la convainc de venir parler un peu plus loin et la tuer ou je ne sais quoi pour qu'elle ne se rappelle plus, je ne pourrais tuer une beauté pareille, je vais juste lui taper sur la tête à un endroit précis pour qu'elle perde la mémoire. Je ne perdrais pas, je veux coûte que coûte le silence de cette Elena, quoi que je fasse je l'aurai, j'emploierais toutes les manières même les plus fortes. Je restais quand même debout, peut-être une petite danse lui plairait, il y a un appareil à musique où tu met une pièce et choisi la chanson que tu veux. J'allai mettre une pièce et mit une chanson au pif et je reparti vers Elena et lui dit:
-M'accorderiez-vous cette danse ?
Je lui tendais ma main pour qu'elle la prenne et qu'on aille danser sur l'étroite piste de danse. Je n'avais aucune réponse donc je pris sa main et l'emmena sur la piste et la serra contre moi pour danser et je lui chuchota à l'oreille:
-Je ne sais pas se que Elizabeth t'a dit ! Je ne veux pas être ton ennemi !
Puis j'arrêtai de parler et passa une de mes mains dans ses cheveux, elle ne pouvais plus bouger, je la retenait, elle n'a pas de force par rapport à moi, elle ne partirais pas comme ça.
Elena C. Anderson
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Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Lun 28 Juin - 9:56
L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL,NON ?
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{ =O T'as même pas préciser que je ressemblais à Katherine ! =( }
Elena préférait ne pas penser aux plans sadiques auxquels songeait Damon. Ce dernier parti glisser une pièce dans la Juke-Box. « Faites qu'il ne revienne pas, pitié ! » Mais il se plaça devant elle et tendit la main. Non mais pour qui il se prenait ?! Avec ses airs de dragueur il pensait peut être faire tomber toutes les filles à ses pieds mais Elena Anderson n'était pas toutes les filles.
DAMON - « M'accorderiez-vous cette danse ? »
« Ben voyons » se dit-elle. Mais pouvait-on refuser quelque chose à un vampire ? Elle soupira intérieurement. Mais pourquoi – pourquoi – fallait-il qu'elle tombe sur lui aujourd'hui ?! Toujours sans réponse, il la pris par la main et l'entraîna sur la piste de danse. Avec un demi-sourire, Elena se demanda si les vampires étaient tous aussi obstinés et têtus les uns que les autres.
DAMON - « Je ne sais pas ce que Elizabeth t'a dit ! Je ne veux pas être ton ennemi ! »
« Mais oui, c'est ça » Non, il ne voulait pas être son ennemi, il voulait juste la tuer. Ce qui, aux yeux d'Elena, n'avait pas beaucoup de différences. Il se tut et avant qu'Elena puisse répliquer il passa sa main dans ses cheveux. Une chose était sure, elle n'avait pas de force comparée à lui mais chacun à ses petits secrets. Donc, Elena en mode dragueuse professionnel passa également sa main dans les cheveux noirs de son interlocuteur et fit mine d'entrer dans son jeu. Il ne s'y attendait surement pas. Soudain elle le tira en arrière et planta ses yeux dans les siens.
ELENA - « Ecoute moi bien ce n'est pas avec ton regard hypnotisant que tu vas réussir à me faire sortir d'ici. Je sais très bien ce que tu fais à Elizabeth et je ne me laisse pas abuser aussi facilement ! »
Elle le lâcha, se hâta de prendre son sac et se dirigea vers les toilettes pour Dames. Avec un peu de chance il n'aurait pas assez d'obstination pour y entrer devant tout le monde. Elle poussa la porte et attrapa son téléphone portable. Elle sélectionna le premier nom dans la liste de ses favoris. De : Elena A : Elizabeth Objet : Le corbeau est au Cambden Grill, jfais quoi ?! Le corbeau c'était le nom de code qu'utilisaient les deux jeunes filles pours désigner Damon. Parce qu'Elizabeth lui avait raconté qu'il avait la faculté de se transformé en cet oiseaux qui, désormais, procurait un léger malaise à Elena quand elle en voyait un.
Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Lun 28 Juin - 12:09
Elle me passa sa main dans mes cheveux à ma grande surprise. Elle regarda droit dans les yeux, je ne l'avais jamais regarder de cet oeil là, son visage, son sourire, ses petites mains, elle ressemble étrangement à Katherine, celle-ci avait le même regard, c'était elle sous toute les formes, elle lui ressemblait comme si elle était sa jumelle. J'aimais Katherine plus que tout et la revoilà du moins physiquement, comment pouvais-je résister, qu'allai-je faire, je sens que je vais faire une bêtise. Puis, elle me dit:
-Ecoute moi bien ce n'est pas avec ton regard hypnotisant que tu vas réussir à me faire sortir d'ici. Je sais très bien ce que tu fais à Elizabeth et je ne me laisse pas abuser aussi facilement !
J'avais desserré mon étreinte, tellement j'étais bouche-bée, ému de revoir sa beauté, de la revoir. Elle en profita et parti vers la table, elle prit son sac et se dirigea vers les toilettes pour femmes. Quand à moi, j'étais resté en plein milieu de la piste de danse, planté comme un épouvantail. Je ne pouvais pas retenir mes sentiments plus longtemps, je l'avais tan aimé, Katherine était toute ma vie. Voilà qu'elle refait surface toujours aussi belle mais, pas la même, elle avait perdue son amour. J'avais vu une série sur les vampires et il y en a une qui est redevenue humaine, là je pensais qu'il disait vrai. Ça faisait tellement longtemps que je n'avais pas vue ma bien aimé. Je repris conscience, la salle était silencieuse, seul mes pensées emplissaient tout se silence. Elle n'était pas partit, elle était toujours là. Je me dirigeais vers la table où j'était assis tout à l'heure, je prit une chaise et je m'assis, la bouche ouverte, les yeux exorbité faisait de moi une momie ambulante. Je ne bougeais plus jusqu'au moment où un petit bruit me fit sursauté, je me leva et me dirigea vers les toilettes des femmes. Je m'arrêta là, je posa ma main sur la porte, je sentait, j'entendais la respiration d'Elena. Je savais qu'elle pouvait m'entendre, donc je me mit à parler:
-Elena, je ne te ferais rien, c'est toi qui m'a envoûté ! S'il te plaît j'ai besoin de te voir, tu lui ressemble tan...
Je ne savais pas quoi dire, elle m'avait scillé sur place, elle lui ressemblait trop, ça ne pouvait que être elle. Mon amour qui c'était caché au profondeur de mon coeur réapparu, je ne lui ferais jamais aucun mal, bien au contraire...
Elena C. Anderson
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Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Lun 28 Juin - 13:36
L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL,NON ?
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{ Ouais !!!! }
Elena avait claqué la porte derrière elle en entrant. Elle se demandait ce que faisait Damon. Peut être était-il vraiment parti cette fois ? Oh je vous en pris, faites qu'il soit vraiment parti ! Elle rangea son téléphone dans son sac et se laissa glisser contre de la porte. Pourquoi mais pourquoi fallait-il que tout lui tombe dessus d'un seul coup ?! Mais... Si c'était un vampire pourquoi ne l'avait-il pas rattraper avant qu'elle passe la porte ? Personne n'aurait rien vu ! Il y avait peut être quelque chose qui... En même temps, juste avant qu'elle se mette à lui parler son regard avait changé. Comme si il avait reconnu quelque chose. Ou quelqu'un.
DAMON - « Elena, je ne te ferai rien, c'est toi qui m'a envoûté ! S'il te plaît j'ai besoin de te voir, tu lui ressembles tant... »
« Quoi ? » Mais de quoi parlait-il ? Elle ne l'avait pas envoûté, elle avait fait semblant d'être envoûtée. Ce n'était pas du tout la même chose ! Ca n'avait carément rien à voir ! Et puis à qui ressemblait-elle ? « Tu lui ressembles tant... » avait-il dit. Il n'avait pas prononcé cette phrase comme les précédentes. Il n'avait plus cette façon de parler comme un traqueur qui tourne autour de sa proie. Elena ne savait vraiment pas ce qu'il fallait qu'elle fasse. Sans prendre conscience de son geste, elle se leva et ouvrit la porte, en laissant son sac par terre.
ELENA - « Mais... De quoi est-ce que tu parles ?! A qui je ressemble ?! »
Elle ne comprenait plus rien et cette conversation commencer à dégénérer. Elena fixa Damon. Il changeait de comportement toutes les deux minutes et trouvait ça normal. Quoi que, peut être que c'était normal pour un vampire. Il n'avait pas bougé. C'était quoi son problème, sérieusement ! Il attendait quoi pour réagir ? Il n'y avait personne et en plus le couloir n'été pas vraiment éclairé. Il pouvait la tuer là. Maintenant. Tout de suite. Si ça se trouve il faisait semblant depuis le début, qui sais ?
Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Lun 28 Juin - 14:12
A ma grande surprise elle ouvrit la porte, son sac toujours par-terre et elle debout devant moi, de sa grande beauté envoûtante, la même que celle de Katherine, je pourrais rester des heures devant elle à la regarder, à l'aimer.
-Mais... De quoi est-ce que tu parles ?! A qui je ressemble ?!
Je continuait à la regarder, la bouche ouverte avec une léger sourire, le seul mot que je pensait était "ouaou", elle était là, devant moi, comparable à une déesse, à Athéna. Je l'ai revue, elle, la femme que j'ai toujours aimée, mon amour pour elle ressortis, c'est elle, c'est Katherine, mais comment e-t-elle pu redevenir humaine ? Je ne pu m'en empêcher, je l'a prit dans les bras, je la sera contre mon torse gelé et fourra ma tête dans ses cheveux comme avant, comme dans le bon vieux temps. Son odeur est magnifique, à croquer, pas tout à fait comme celle de Katherine, le parfum est différent. Je me souviendrais à jamais de l'odeur de Katherine, ma bien aimée, je la reconnaitrais entre mille, elle était en moi, elle avait était auparavant mienne.
-Katherine, tu es revenue, je le savais que tu reviendrais pour moi... Je n'ai pas cessé de t'aimer, je t'ai attendue !
Je l'avais gardée dans mes bras, une larme tomba de mes yeux et s'écrasa dans les cheveux de la jeune femme. Comme je suis heureux. Je la relâcha pour la regarder de nouveau, mon Dieu, c'est un ange dans un monde de brut. Une brut comme moi pleurer, ça fait bizarre, mais qu'est-ce que je suis heureux de la voir, ed la sentir, de l'aimer de nouveau et de la toucher.
-Pourquoi es-tu revenue ? Je t'ai attendue si longtemps, je savais que tu n'était pas morte.
La jeune fille me regarda bizarrement mais, pourquoi ne disait-elle rien, c'est moi, elle savais que je ne lui ferais aucun mal, je l'aime.
[HJ: Oui, désoler, j'avais oublié ^^ !]
Elena C. Anderson
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Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Lun 28 Juin - 14:55
L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL,NON ?
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Damon ne dit rien. Il était là, à sourire comme si ils étaient juste de vieilles connaissances qui se revoyaient plusieurs années après. Elena n'eut pas le temps de réaliser ce qui se passait qu'il la serra dans ses bras. Elle essaya de se dégager mais c'était impossible de toute façon. Non mais sérieusement qu'est-ce qui n'allait pas chez lui ? Si Elizabeth avait était là, elle serait devenue folle. Elle se retenait de lui hurler de la lâcher immédiatement quand il se mit à parler à... Quelqu'un d'autre. Enfin, c'était bien Elena qu'il regardait, mais on aurait dit qu'il la confondait avec une autre personne.
DAMON - « Katherine, tu es revenue, je le savais que tu reviendrais pour moi... Je n'ai pas cessé de t'aimer, je t'ai attendue ! »
Elena sentit une larme tomber dans ses cheveux mais elle ne bougea pas. Il se déciderait bien à la lâcher. Elle était à moitié surprise à moitié exaspérée de le voir pleurer. Quand même un peu plus surprise qu'exaspérée. Par contre elle ne comprenait rien à rien de ce qu'il racontait. C'était qui cette Katherine ? Elle voulait bien admettre que Damon était un peu taré mais là c'était vraiment devenu flippant. Il se décida enfin à la lâcher pour la contempler. Elena était toujours aussi interloquée.
DAMON - « Pourquoi es-tu revenue ? Je t'ai attendue si longtemps, je savais que tu n'était pas morte. »
Il semblait étonné. Étonnée qu'elle ne dise rien. C'était plutôt elle qui devrait être étonnée après ce surprenant renversement de situation. Elle ne dit rien pendant deux ou trois minutes. La première réaction qu'elle eu fut de rentrer de nouveau dans les toilettes, elle attrapa son sac à main et regarda l'heure. Il était 14 heures 28. Étrange réaction, se dit-elle.
ELENA - « Qui est Katherine ? »
Demanda-t-elle simplement. Elle se demanda si il n'était pas en train de se moquer d'elle depuis le début. Non... le Damon comme Elizabeth le lui avait décrit n'aurait jamais pleuré pour quelque chose d'aussi peu important qu'une humaine insignifiante comme elle !
Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Lun 28 Juin - 15:38
Quand je la lâcha elle retourna dans les toilettes et elle reprit son sac tout en regardant sa montre puis elle dit:
-Qui est Katherine ?
Qui est Katherine ? Mais... c'est elle, comment ne savait-elle pas qu'elle s'appelait Katherine. Imposture, qu'a-t-elle fait de Katherine, où est-elle. Qu'avais-je fait ? Je savais que je me trompait en disant ça, Elena est juste une fille qui lui ressemble étrangement, rien de plus. Je viens de passer pour un débile pas possible, mon Dieu qu'ai-je fait, une si grosse bêtise, je suis bête, bête et encore bête !
-Personne...
Je me suis promis de ne jamais dévoiler mon secret, le plus fort, le meilleur que j'ai connue. Mon moment de faiblesse devais s'arrêter là, je devais reprendre mes esprits pour faire le ce pourquoi j'était venu là à la base. Je savais que je ne le ferais pas, que sa beauté me rappelait trop ma chère et tendre Katherine, elle, je le respectait. Je ne sais pas, je ne sais plus. Qu'elle est la vérité, qu'elle est la raison ?
Mon sentiment ne c'est pas enlevé, pourquoi? T'elle est la question ! Moi et moi seul peut savoir pourquoi ! Je devais reprendre mes esprits et redevenir moi, le Damon Salvatore que tous le monde déteste pour sa beauté envieuse et sa méchanceté. Je regardais Elena et me mit à l'embrasser...
Elena C. Anderson
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Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Lun 28 Juin - 17:10
L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL,NON ?
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DAMON - « Personne... »
Elena ne répondit rien. Il semblait très, très déçu et en colère contre lui même. Alors c'était tout ? Il se mettait à la prendre pour une autre et à la serrer dans ses bras puis après, elle n'était personne ? Ce n'était pas le Damon tel que sa confidente le lui avait décrit. Et c'était un peu trop bizarre pour être normal. Elle remonta son sac sur son épaule. Après tout, elle arriverait peut être à sortir comme ça, normalement. Damon semblait ailleurs, il ne se rendrait peut être même pas compte qu'elle était partie. Et le première chose qu'elle désirait c'était de partir loin de ce vampire et d'écrire ce qui s'était passé dans son journal. Elle fit un pas pour sortir mais Damon l'embrassa. Vous savez cet état dans lequel on est quand il y a eu une réaction à laquelle on ne s'attendait pas et qui vous à pris au dépourvu ? Quand on est tellement surpris qu'on ne sait plus quoi faire ? Et bien Elena se sentait exactement comme ça. Si elle avait été disons...Normale elle l'aurait giflé et et serait partie en courant mais c'était tellement agréable, la pression de ses lèvres sur les siennes... Elle se laissa aller et passa ses bras autour de son cou. La jeune fille savait qu'elle n'avait absolument le droit de faire ça. Mais si elle ne le disait à personne, pas même à Elizabeth ? Elizabeth... Elena se dégagea brusquement.
ELENA - « Oh mon Dieu... »
Murmura-t-elle. Elle regarda Damon dans les yeux une demi-seconde et parti en courant. Elle connaissait sa ville par cœur. La brunette poussa la porte du Cambden Grill et courut vers la forêt. Elle détestait aller là-bas mais en ce moment précis elle ne voulait voir personne. Comment ferait-elle pour regarder Elizabeth en face maintenant ? Elle qui lui avait décrit dans les moindres détails comment elle aimait le jeune homme qu'elle venait d'embrasser. Elle laissa tomber son sac par terre et s'assit contre un arbre. Alors, seulement, elle se rendit compte qu'il pleuvait des cordes et que le superbe ciel bleu de ce matin avait disparu, remplacé par d'étranges nuages gris. Elle essuya une larme qui avait roulé sur sa joue. Si seulement cela avait été n'importe qui d'autre – à part peut être Peter... Mais non, il fallait que ce soit lui. Lui dont sa confidente été éperdument amoureuse. Encore, si elle n'avait pas fait exprès elle aurait peut être le courage de se regarder dans un miroir mais elle ne pouvait pas mentir à Elizabeth. Elle ne pouvait pas lui dire non plus qu'elle avait horreur de Damon parce qu'elle avait adoré ça. Voilà. C'était ça le problème ! Ça lui avait plu. Et ça, Elizabeth ne lui pardonnerait jamais. Elle devait trouver un moyen de le lui dire. Parce qu'elle lui dirai bien sur. Si elle le lui cachait elle s'en voudrait jusqu'à la fin de sa vie. Elle attrapa de nouveau son téléphone. De : Elena A : Elizabeth Objet : Il faut qu'on parle. Jsuis désolée Liza... Elle du s'y prendre à plusieurs reprise pour écrire correctement et encore plus pour presser la touche « Envoyer » tellement ses mains tremblaient. La seule chose positive qui pourrait lui arriver de bien aujourd'hui serait de trouver quelqu'un avec un parapluie. Parce que désormais, Elena était trempée.
Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Lun 28 Juin - 17:35
On dirait que mon baiser ne lui à pas déplut, elle même a passée ses bras autour de mon coup puis soudain elle murmura:
-Oh mon Dieu...
Elle parti en trombe de Cambden Grill. J'aurai très bien pu la rattraper mais se baiser, si je le comparait à celui de Katherine, ils étaient pareilles. Bizarre, mais qui es-ce vraiment, elle est si semblable à plusieurs point à Kate. Je ne bougeais plus, j'était à la fois horrifié et à la fois heureux, se baiser m'avait plus mais je m'était promis d'embrasser que Kate avait tan d'envie. Elle était déjà loin mais, je sentais toujours son odeur affreusement irrésistible. Une minute passa, j'étais resté planté au même endroit pour songé, je m'étais surpris à sourire gaiement. Je bougea, je me dirigeais vers la porte d'entrée et sortis, il pleuvait. Je comptais allé retrouver Elena pour... je ne sais quoi d'ailleurs. J'allais avant de la retrouver chez un marchand de parapluie, elle en avait surement besoin, moi non. J'en trouvait un plutôt marrant, le seul problème c'est que j en'avait pas de sous, je vais me reprendre et faire mon sublime sourire, je vais la supplier de mon regard, le pire c'est que la vendeuse était une femme, trop facile. Deux minute plus tard, je ressortais du magasin le parapluie à la main, j'y suis arrivé. Bon maintenant je dois allez direction la forêt, elle y est, je la sent, elle sent si bon. Une fois à l'orée de la forêt j'y entrais d'un pas décidé, le parapluie ouvert au dessus de ma tête pour ne pas faire tache je m'enfonçais dans la forêt. Après quelques minutes de marches, je vit assise par-terre, toute trempée. Je m'approchais d'elle et lui tendit le parapluie en disant:
-Prend-le.
Elle ne le prenait pas, donc je m'assit à côté d'elle et le mit au dessus de sa tête. Quand à moi je mouillait, peut importe j'ai des vêtements de rechanges. Je mit mon bras autour de ses épaules et la sera contre moi, je suis un vampire, donc je suis gelé mais j'aimais sentir son coeur battre contre mon corps.
Elena C. Anderson
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Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Mar 29 Juin - 10:28
L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL,NON ?
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Elena ne voulait plus penser à tout ça. Elle ne voulait plus penser du tout en fait. Elle avait deux possibilité. La première était d'attendre ici jusqu'à être prête à annoncer la « nouvelle » à Elizabeth mais comme elle ne serait jamais prête cela risquait de mettre du temps. Conséquence : Damon allait surement rappliquer dans pas longtemps parce qu'elle savait pertinemment qu'il ne l'avait pas oubliée. La deuxième était de foncer chez Elizabeth dans la minute. Conséquence : Elle ne serait pas beaucoup plus en sécurité puisque le vampire pouvait entrer et sortir de la maison de son amie quand il le voulait mais au moins elle ne serait pas seule. Bien. Alors elle allait foncer chez Elizabeth. C'était surement le plus sage à faire, non ? Elle releva la tête et aperçut Damon, avec un parapluie. Peut être que si elle n'avait pas souhaité voir quelqu'un avec un parapluie Damon ne serait pas là, se dit-elle en soupirant intérieurement. Elle espérait que les vampires ne lisaient pas dans les pensées. Elena n'avait même pas réalisé qu'il lui avait parlé et déjà il était assis à côté, un bras autour de ses épaules. Elle se dégagea mais en prenant toujours soin de rester sous le parapluie. Elle était déjà assez trempée comme ça.
ELENA - « Pourquoi tu fais ça ? »
Il resta perplexe. Elle lui parlait d'Elizabeth bien sur. Pourquoi est-ce qu'elle avait droit à...Ce qu'elle avait et qu'Elena avait droit à autre chose alors que c'était de sa faute ?! C'était elle qui avait tanné sa confidente pour qu'elle lui dise et quand elle lui avait demandé « Tu es sure que tu veut savoir ? », Elena avait répondu « Oui ! » sans hésiter. Elle aurait mieux fait de se taire.
ELENA - « Pourquoi tu fais ça à Elizabeth ? C'est une des filles les plus gentilles et généreuses que j'ai jamais rencontrées et tout ce à quoi elle à droit c'est...Ça ! Et ne le nie pas je le sais très bien. »
Elle le regarda d'un air de défi. C'était peut être un vampire, mais Elena avait besoin de réponses et il y avait certaine réponses qu'Elizabeth était dans l'incapacité de lui donner. Il faudrait aussi qu'elle questionne Damon au sujet de cette... Katherine. Parce qu'Elena n'en avait jamais entendu parlé et pour qu'elle mette Damon Salvatore dans cet état là, elle devait être quelqu'un de très important. Elle se rappela du jour à la Bibliothèque où Elizabeth lui avait tout dévoiler, et où Elena avait vu ses marques. Elle frissonna, jeta un dernier coup d'œil à Damon et se leva, espérant mettre le plus d'espace entre elle et lui. Il n'était pas normale au Cambden Grill, mais il était normal quand il abusait d'Elizabeth et ça, Elena ne pouvait pas le supporter. Elle attrapa son sac et, priant le ciel pour qu'il laisse tomber, se mit à marcher en direction de chez elle.
Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Mar 29 Juin - 14:25
Elle se décolla de moi mais, de t'elle sorte qu'elle reste quand même sous mon parapluie. Elle était surement effaré que je l'ai retrouver mais, il ne faut pas sous-estimer mes sens et mes pouvoirs de vampire. Puis, elle dit de sa douce voix à moitié en colère:
- Pourquoi tu fais ça ?
Que je fait quoi ? De quoi parle-t-elle ? De qui ? Que se soit d'Elizabeth, elle l'a cherché, elle c'est amourachée de moi par malheur, je n'ai joué que de son envie, elle n'a rien refusé, enfin jusqu'à maintenant. Quand à Elena, je ne peux penser qu'à Katherine en la voyant, elle est si belle, elle ressemble trop à Katherine et je ne peux la voire sans l'aimer, même si ce n'est pas Katherine. Je ne fais que ce que mon instinct me dit, il me guide. Je ne fais que ce qu'il me plaît, elle me plaît, mais à qu'elle point, je n'en sais rien, elle ne m'aime pas et ça ça se voit. Puis elle reprit:
- Pourquoi tu fais ça à Elizabeth ? C'est une des filles les plus gentilles et généreuses que j'ai jamais rencontrées et tout ce à quoi elle à droit c'est...Ça ! Et ne le nie pas je le sais très bien.
Je n'ai fait jusqu'à présent que se qu'elle voulais ou du moins se qu'elle ne me refusais pas. Elle ne m'avait rien refusé, elle se laissait faire et ba moi je l'ai fait en mentant un peu, mais maintenant elle le sais très bien que je ne suis pas amoureux d'elle. En effet elle est très généreuse, mais quand on vend son âme au diable sa vie est finit, elle c'est vendue à moi mais, elle le savais très bien de quoi j'étais capable et elle l'a acceptée, elle c'est donnée à moi comme jamais elle l'avait fait.
Elle me regarda, se leva et prit son sac puis, elle partit comme si tout était normale. Je me leva et dit:
-Elle l'a fait parce qu'elle en avait envie, pourquoi refusé quand c'est proposé si gentiment. Je ne nie rien. Je sais se qui t'interroge tant, c'est cette Katherine.
Je me taisais, je savais qu'elle ne partirais pas loin, je pourrais la rattraper si elle essayait de s'enfuir, mais je veux savoir qui est-elle vraiment, peut-être que Katherine est l'une de ses ancêtres.
Elena C. Anderson
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Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Mar 29 Juin - 15:17
L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL,NON ?
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Elena secoua ses cheveux histoire de faire tomber les petites gouttelettes qui s'y étaient accrochées et laissa Damon assis par terre. Elle aurait peut être du prendre le parapluie pour rentrer. Parce qu'elle détestait la pluie. Et c'était officiellement la journée la plus pourrie de sa vie !
DAMON - « Elle l'a fait parce qu'elle en avait envie, pourquoi refuser quand c'est proposé si gentiment. Je ne nie rien. Je sais se qui t'interroge tant, c'est cette Katherine. »
Elle se retint de se retourner et de le gifler. Il commençait sérieusement à lui taper sur les nerfs avec ses propos incohérents. Et maintenant il se permettait de dire tout haut ce qu'elle pensait ?! Ça l'étonnait vraiment beaucoup que sa confidente se soit proposer pour servir de banque du sang. Ça faisait mal de se faire mordre par un vampire ? Elena pria pour que Damon n'ait pas lu dans ses pensées à cet instant précis et se soit dit qu'elle avait envie d'essayer. Peut être que les vampires avait une sorte de...Pouvoir, pour contrôler les esprits. Elle espérait que non. Sans se retourner, elle continua à marcher, sortit son téléphone et s'en servit pour regarder derrière elle. Elle savait que Damon l'avait vue et s'en fichait complètement. Il s'était levée mais ne semblait pas la suivre. Bizarre. En même temps, si Elena essayait de s'enfuir, il la rattraperai sans problème et qui sait ce qu'il pourrait lui faire en suite... Toujours en marchant et sans se retourner, elle murmura :
ELENA - « Je croyais que Katherine n'était personne. »
Il l'avait entendue. C'était un vampire après tout. Elena se demanda à quelle vitesse les vampires pouvait courir. Cela devait être génial d'essayer. En tout cas, il lui suffirait d'une demi-seconde pour la rejoindre. La brunette rangea son portable dans son sac. Elle ne voulait plus entendre parler de vampires de la journée. Elle voulait rentrer chez elle, comme avant. Avec un temps de retard, elle se demanda comment Damon avait put la retrouver aussi vite. Elle sauta ce détail et sortit de la forêt pour poser un pied sur le trottoir. En même temps, il était vrai qu'elle avait vraiment envie de savoir qui était cette Katherine.
Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Mar 29 Juin - 22:48
Elle partit, elle se fichait royalement de se que je disais ou du moins elle ne le montrait pas. Elle attend quoi de moi, peut-être rien, enfin juste de la haine parce que j'ai sois-disant abusée de son amie, mais c'est elle qui le voulait ou du moins elle ne le refusais pas. Oh oui, Elizabeth avait prit plaisir avec moi en croyant que je l'aimais maintenant c'est fini je lui avait dit clairement que je ne l'avait pas aimé, ce n'était qu'un passage dans ma longue vie emplit de filles, de fêtes, d'"amours", de vengeances et de haines. Et bien oui, je ne suis pas un homme comment pourrais-je dire... saint, il fallait sans douter, je suis un vampire en prime. Puis elle dit à voix basse:
-Je croyais que Katherine n'était personne.
Personne est un bien grand mot, je pourrais le comparer au prénom qu'Ulysse c'est donné devant la cyclope et le fils d'un Dieu, mais elle en l'occurrence n'est qu'un vampire, un être ou plutôt une chose maléfique. Une "personne" si désirable, à tomber par-terre, je ne pourrais l'oublier tellement elle a fait de moi un homme meilleur mais depuis sa disparition ou sa mort je suis redevenu l'homme hargneux que j'étais, l'homme qui déteste au plus profond de sois son frère et qui ne peu s'empêcher de l'embêter et de la provoquer. Mais cela était le bon vieux temps, tous on péris ou disparus mais moi je reste là, vivant dans mon corps de jeune homme ignorant alors que mon esprit grandit chaque instant dans tous les sens.
Elena continuait sans s'arrêter, sans aucun regard lancé en arrière, se qui me fit sourire, c'est la première jeun femme qui ne me désir pas, la première qui refuse se donner à moi, qui ne s'avoue pas vaincue. J'aimais ça, je devais me battre pour une fois, l'avoir dans mes bars serai plutôt dur cette fois. Une gazelle échappant aux griffes du léopard, elle vite mais le léopard est séduit par cet chose vif et séduisante. Mais comme d'habitude se ne serait que passagé, c'est mon train de vie, chaque fille qui descend à ma gare à droit à se moment d'attention puis elle reprend le train et en voilà une autre... et un si de suite.
Je me décidais d'aller la rejoindre, de ma démarche séduisant selon les filles que j'ai fréquenté, j'avançais, avec plus ou moins d'envie. Je voulais atteindre mon but, cette fois si était peut-être un échec assuré mais je voulais essayer, juste essayé. Bref, je ne mit pas de temps à la rattraper, en moins d'une à ma vitesse normale j'étais à côté d'elle, puis je pu me taire plus longtemps:
-Je t'ai un peu menti sur se coup là.
Je n'en dit pas plus, il ne faut jamais en dire trop avec se genre de fille, elle n'est pas facile à amadouer, mais elle elle était différente, elle avait en prime la ressemblance impressionnante de Katherine.
-Qu'est-ce que t'as raconté Elizabeth sur moi ?
J'étais trop curieux pour rester là sans savoir se qu'on raconte de moi, dans quel sens gentil ou au contraire méchant, je suis habitué à toutes les critiques et gentillesse.
Elena C. Anderson
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Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Mer 30 Juin - 0:57
L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL,NON ?
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Elena dit que cela devait être assez frustrant pour Damon de ne pas la voir tomber dans ses bras comme toutes les autres filles. Mais Elena n'était pas comme les autres, loin de là. Sinon elle ne serait pas sous la pluie à discuter tranquillement avec un vampire. En fait, elle n'avait pas envie d'aller chez elle. Non seulement c'était assez loin de la forêt mais en plus ses parents voudraient savoir pourquoi elle était trempée et elle devrait passer par Damon et tout ça enfin bref la galère totale quoi ! Damon apparut soudain à côté d'elle et Elena sursauta.
DAMON - « Je t'ai un peu menti sur se coup là. »
Il se tut. S'il pouvait développer cela arrangerait vraiment Elena parce que là, elle avait un bon million de questions qui trottaient dans sa tête, attendant des réponses. Elle continua de marcher et prit de nouveau la direction du Cambden Grill. Elle aimait beaucoup cet endroit. Après tout, où qu'elle aille ça ne changerait rien.
DAMON - « Qu'est-ce que t'as raconté Elizabeth sur moi ? »
Alors là, il pouvait toujours rêvait pour qu'Elena lui raconte ce qu'Elizabeth et elle disaient. Une confidente, c'est quelqu'un à qui on confie des secrets que l'on ne peut raconter à personne donc aller les crier au premier vampire venu n'était pas la meilleure chose à faire. Elle n'accorda pas un regard à Damon. En effet, ça devait être très frustrant.
ELENA - « Tu peut faire ce que tu veut je ne te parlerai pas de ce dont je discute avec Elizabeth. Par contre je veut bien savoir qui est Katherine. »
Un secret est un secret. Et Elena ferait tout pour les garder pour elle. Même se faire mordre par un vampire – Elle se demanda ce qu'elle avait à être obsédée par cette histoire de vampires. Pauvres centaines de filles qui s'étaient faites piégées par le vampire le plus dragueur du monde, se dit-elle avec un petit sourire ironique.
Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Mer 30 Juin - 11:41
Elena se fichais encore de moi, elle détournait pas son regard pour le poser sur moi, non jamais, elle continuait à marcher tout droit. Maintenant elle se dirigeais vers le Cambden Grill, pourquoi ne rentre-t-elle pas chez elle, là je ne l'embêterais plus, je n'ai pas le pouvoir ni sa permission pour rentrer mais je sais que je peux l'obtenir facilement. Elle cassa le silence:
-Tu peut faire ce que tu veut je ne te parlerai pas de ce dont je discute avec Elizabeth. Par contre je veut bien savoir qui est Katherine.
Comme ça tu veux jouer à se jeux, ok je ne dirais rien, de toute façon je ne raconte jamais cette histoire aux mortels, je ne l'ai jamais raconter et je vais jamais la raconter, surtout pas à elle, la tête de mule. J'adore les cachoteries de filles, c'est si bête et drôle, ça parle toujours de moi, en bien ou en mal ça je m'en fiche tan qu'on parle de moi ça me va. Je suis toujours l'objet de discutions mais la plus part du temps elles ne disent que du bien de moi mais ça ne m'empêche pas de les laisse tomber après.
-Je veux bien jouer avec toi, je ne dirais rien non plus.
Ça faisait un peu bébé mais, c'est elle qui a commencé, elle ne veux pas elle ne veux pas pourquoi moi je serais obligé de divulguer mon secret le plus important, qui me tient le plus à coeur, celui qui est toute ma vie, celui qui me tient encore en vie. Serait-elle naïve comme Elizabeth, non elle ne se laisse pas charmer comme ça, ça me plaît, plus elle est inaccessible plus je la veut, quel jeu interminable. Ça m'excite, j'aime l'impossible, je sais qu'elle ne me tombera pas dans les bras en un claquement de doigts, mais je vais tous faire pour, elle me plaisais.
Elena C. Anderson
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Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Jeu 1 Juil - 12:59
L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL,NON ?
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Elena savait très bien qu'il n'allait pas lui parler de Katherine de si tôt, et ça l'énervait un peu. Mais bon, qui ne tente rien n'a rien, comme on dit. Il pleuvait toujours et ses cheveux dégoulinaient dans son dos. Elle devrait passer la journée avec le sèche-cheveux en mains pour qu'ils redeviennent secs. « Non mais ça va pas ! Pourquoi je pense à mes cheveux ? » se dit-elle. Elle avait envie d'éclater de rire. Ça ne collait pas du tout avec la situation. Elle se ressaisit. Ce n'était vraiment pas du tout le moment de penser à ses cheveux. Elle serait au Cambden Grill dans moins de cinq minutes maintenant.
DAMON - « Je veux bien jouer avec toi, je ne dirais rien non plus »
Elle avait presque oublié qu'il marchait toujours à côté d'elle. « Presque » c'était le mot. Alors comme ça c'était un joueur ? Très bien, Elena aussi. Et elle pouvait jouer au jeu du silence pendant très, très longtemps. Elle était peut être un ange quand elle voulait, elle détestait perdre à ce jeu là. Et puis pourquoi laisserait-elle Damon gagner ? Il 'avait prise pour une autre et l'avait embrassée sans lui demander son avis, comme si de rien n'était. Et maintenant il n'arrêtait pas de la suivre. Il lui devait bien une petite histoire quand même !
ELENA - « Qui as dit que je voulais jouer avec toi ? »
Lui dit-elle avec un petit sourire. Et oui, elle pouvait devenir garce quand elle voulait. Elena se demanda comment était Katherine. Peut être qu'elle était garce elle aussi. Quoi qu'Elena n'était pas comme ça tout le temps, au contraire. Cette Katherine allait la perturber jusqu'à ce qu'elle en sache plus sur elle maintenant, génial ! Et Elena détestait rester dans l'ignorance. Il fallait qu'elle sache qui elle était ou elle n'arriverait plus à dormir la nuit. Déjà qu'elle avait du mal avec toutes ces histoires surnaturelles... Si seulement Damon lui disait son nom de famille peut être – peut être – qu'elle pourrait se renseigner.
Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Jeu 1 Juil - 22:20
Rien ne l'arrêta, elle avançait, on approchais vite du Cambden Grill. Imperturbable cette Elena, elle est tenace, elle ne se laisse même pas un peu charmé par ma beauté à tomber par-terre () mais non, elle reste de marbre et moi je veux atteindre le sommet, je ne m'avouerais pas vaincu de si tôt, voila ma devise, atteindre le plus haut sans désespérer. Elena serais difficile à avoir, sa force de caractère me l'empêchera, mais je veux l'atteindre ! Je ferais tous pour goûter ne serais-ce qu'une goutte de son sang et le goût de ses lèvres sur les miennes encore une fois. Ce n'est pas gagné d'avance. Puis elle dit quelque temps après que j'eu parlé:
-Qui as dit que je voulais jouer avec toi ?
Oh, mais c'est évident, moi j'ai envie de jouer mais je sais très bien qu'elle aussi. Elle voulait me soutirer ses informations à tout prix, ça se voyait, elle en brûlait d'envie. Mais puisque c'est ainsi je ne dirais rien et puis depuis le début je comptais rien lui dire, non ais un secret c'est un secret. Elle n'avait rien envie de me dire se qu'Elizabeth avait dit sur moi donc bouche cousu pour comme pour elle j'imagine. Je continuais à la suivre d'un pas considérable d'une démarche assurée bien sûr, je n'étais pas décidé de la quitté tout de suite. Pas encore, ce n'est pas fini et elle verra qu'à se jeux là je suis le meilleur et au moindre prix.
-Ton expression dit le contraire ! Je me trompe ?
J'était à peu près sûr de sa réponse, soyons fou soyons dingue, soyons bête et optimiste...
Elena C. Anderson
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Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Ven 2 Juil - 0:56
L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL,NON ?
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DAMON - « Ton expression dit le contraire ! Je me trompe ? »
Cette fois, Elena s'arrêta net sur le trottoir. Non mais comment pouvait-il savoir que c'était exactement ce qu'elle pensait ? Elle se tourna lentement vers lui. Il avait vraiment le don de l'énerver ! Même sa mère n'arrivait pas à la mettre dans cet état là. D'ailleurs il faudrait qu'elle dise à sa mère que si elle voyait un jeune homme brun aux yeux bleus très clairs, elle ne devrait surtout pas le laisser entrer. Elle se planta devant lui. C'était le vampire le plus obstiné qu'elle ait jamais rencontré. Hum...Non. En fait elle n'avait rencontré qu'un seul vampire donc ce n'était pas comparable. C'était la personne la plus obstinée qu'elle ait jamais rencontrée, voilà ! Et pourtant, Elena elle-même était une jeune fille vraiment très têtue. Elle n'aimait pas du tout cette façon qu'il avait de sourire à moitié comme si il préparait un mauvais coup. Et il regardait tout le monde l'air de dire « Oui, c'est moi, Damon Salvatore, je suis le type le plus beau de la Terre et je suis très gentil quand je veut. » Elle s'approcha de lui.
ELENA - « Tu crois que tu m'impressionnes ? Sérieusement ? Ce n'est pas parce que toutes les filles tombent à tes pieds qu'il en est de même pour moi, tu sais ? »
Si ses amies avaient étés là, elles lui auraient surement dit qu'il y avait de quoi tomber à ses pieds ! Ensuite, Elena aurait répliqué : « Les filles, franchement...! » mais, quand même, elle aurait ajouté : « Hum...C'est vrai qu'il y a de quoi ! » et là, elles auraient toutes éclaté de rire. Mais ça se passait comme ça avant. Avant que tout ça n'arrive. Elle aurait dit ça si elle n'avait pas su ce que Damon était vraiment. Elena leva les yeux au ciel et se remit à marcher. A un moment il faudrait bien qu'elle cesse d'être tourmentée à propos de ça. Ça ne servait à rien. Si ils existaient, ils existaient, et qu'Elena le sache ou pas, cela ne changerait absolument rien. Par contre elle ne comptait toujours pas dire à Damon de quoi Elizabeth et elle discutaient. Elle était déjà assez troublée qu'il arrive à savoir ce qu'elle ressentait sans qu'en plus il sache ce qu'elle disait. C'était une fille après tout. Et les filles ont des secrets qu'elle ne disent pas aux garçons !
Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Sam 3 Juil - 12:22
La jeune fille s'arrêta net, se que j'ai dit ne lui a pas plus ? Qu'est-ce que j'ai dit ? Elle se retourna vers moi pour me regarder elle avait l'air très contrarier, mes paroles l'avait surement blessés mais en quoi ? Elle n'était n'avait pas l'air d'être heureuse que je l'a suive et que je lui parle en prime, ça met égale, vous savez bien j'en fait qu'à ma tête. Elle était encore plus belle en colère, son expression, ses yeux à moitié plissés de colère et sa petite bouche prête à grogner, oua les filles... La beauté et Elena ne font qu'une, j'aime ça. Je souriais, elle ne me faisait pas peur bien au contraire puis elle s'approcha de moi et dit:
-Tu crois que tu m'impressionnes ? Sérieusement ? Ce n'est pas parce que toutes les filles tombent à tes pieds qu'il en est de même pour moi, tu sais ?
Enfaite je crois que je t'impressionne mais tu ne veux pas le montrer, voilà se que je pense de toi. Tu ne le montre pas ou peut-être t'est tout simplement dégoûtée par ma beauté, je suis tellement beau et irrésistible qu'elle ne peut même pas me regarder. Mais elle elle n'est pas toute les filles, elle c'est Elena comme Elizabeth est Elizabeth. Les filles sont incompréhensible, ont se demande parfois qu'est-ce qu'elles ont dans la tête, toujours à se contredire, pourquoi cache-t-elle leurs sentiments à tous vas et ne pas les exprimer comme Elizabeth, bon elle elle se contredit mais fini toujours par montrer ses sentiments. C'est pour ça que j'éprouve un peu de compassion pour elle. Quand à Elena c'est compliquée, parce qu'elle m'intrigue tout autant qu'elle m'attire, c'est comme si elle était un aimant et moi du fer.
-Non, mais j'ai l'impression que tu cache tes sentiments et je le sais très bien que tu n'es pas toutes les filles.
Elena C. Anderson
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Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Ven 23 Juil - 21:45
L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL,NON ?
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Vous savez... Il y à un moment où vous vous êtes dit « C'est le jour le plus bizarre de ma vie ! » ou encore « Je n'ai rien vu d'aussi bizarre de toute ma vie ! ». Elena avait déjà dit ça. Elle ne se souvenait plus pourquoi mais elle l'avait dit. Et bien le fait de rencontrer Damon Salvatore a vite fait de vous ôter cette certitude. Parce que plus bizarre que lui, se dit Elena, ça n'existait surement pas. Si elle assemblait ce qui c'était passé aujourd'hui, elle se souvenait que... Au début, Damon était venu la voir avec deux idées en tête : La première c'était de la convaincre de céder à ses airs hypnotiques et la deuxième c'était de la tuer. Simple d'apparence. Mais beaucoup plus compliqué quand on à affaire à une tête de mule telle qu'Elena. Ensuite il l'avait confondue avec quelqu'un d'autre. Cette « Katherine » dont elle ignorait jusqu'à l'existence. Puis il avait été bouleversé parce qu'elle n'était pas Katherine ! « Tiens, comme c'est étrange ! » se dit-elle avec ironie. Ensuite – et là elle se dit que c'était vraiment la journée la plus bizarre de sa vie – il l'avait embrassé et pour une raison encore inconnue, elle l'avait laissé faire ! Oui parce que, vous comprenez, normalement, Elena Anderson ne laisse pas des garçons qu'elle vient à peine de rencontrer l'embrasser comme ça et encore moins des vampires sanguinaires. Par la suite c'était elle qui avait été bouleversée, parce qu'elle s'en voulait par rapport à Elizabeth – on se passe des détails. Après il était devenue gentil pendant trois quart de minutes et pour finir, il était redevenu le Damon tel que sa collègue cheerleader le lui avait décrit, avec ce petit sourire ironique qui avait le don d'énerver Elena. Déduction : Damon était effectivement le type le plus bizarre du monde mais en plus il était extrêmement lunatique et la brunette ne savait pas comment elle devait se comporter en sa présence. Génial. Pour couronner le tout il pleuvait toujours. Parfait.
DAMON - « Non, mais j'ai l'impression que tu caches tes sentiments. Et je le sais très bien, que tu n'es pas toutes les filles. »
« Ignore-le ! » à soufflé une petite voix dans sa tête. Cette petite voix, Elena la connaissait bien. Tout le monde connaissait bien la petite voix. Mais d'ordinaire, la jeune fille ne l'écoutait pas. Elle était bien trop imperturbable et indécise pour se laisser guider par le fruit de son imagination. Sauf qu'aujourd'hui, il pleuvait et qu'elle était en compagnie de Damon Salvatore. Bon, d'accord. La pluie n'y était pour rien. Tout ça c'était la faute de Damon ! S'il n'avait jamais débarqué à Cambden il n'y aurait pas tout ces problèmes de vampires. Et puis même s'il y avait quand même des vampires, elle ne serait pas concernée parce qu'Elizabeth ne serait pas concernée et qu'elle ne l'aurait pas mise au courant ! Bon. Elle écrirait tout ça dans son journal en rentrant, histoire de se calmer mais là, cela ne servait à rien de péter un câble comme ça. Elle poussa la porte du Cambden Grill en priant toutes les divinités dont elle avait déjà entendu parlé pour que Damon ne la suive pas.
Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon Sam 24 Juil - 17:01
Elle semblait imperturbable, incroyable, jamais aucune fille avait réussi à m'ignorer de cette façon. 9a en devenait presque invivable, comment ne peut-on pas me porter le moindre regard, j'avais vécue dans la beauté et l'admiration, des centaines de filles me l'avaient prouvées. Ses cheveux dégoulinaient d'eau et ses vêtements étaient complètement trempé, ça n'avait pas l'air de la gêner tan que ça, moi pas du tout, quand vie la plupart du temps dehors on se rencontre que la pluie n'est pas si terrible que ça et au contraire elle est plutôt agréable, bref... revenons à nos moutons. Elle marchait d'une démarche plutôt assuré et son expression montrait bien qu'elle en avait marre que je la suive comme un toutou derrière sa maîtresse. Je le comprend mais, avant les jolies filles adoraient que je fasse ça, elle adoraient aussi toucher mes cheveux mais ça c'est tout autre chose... De nos jours, les filles préfèrent les gars qui se la pète, qui porte une casquette et musclé, j'avais réussi à acquérir la première épreuve j'essai de me la péter et quant au casquette je trouve ça ridicule mais par contre musclé ça je crois l'avoir acquis depuis longtemps. Pourtant de mon temps j'étais le type d'homme que chaque femme espéraient découvrirent un jour dans leur lit, c'est pour ça que je suis parti d'ailleurs, trop de demande ^^ et puis mon frère n'acceptais pas le faite que je plaisais aux femmes plus que lui et que j'avais réussi à acquérir le coeur de pierre de Katherine.
On avait marcher dans le silence absolu jusqu'au Cambden Grill, elle était toujours aussi imperturbable. Elle poussait la porte et je la reteint par le bras et dit de ma voie mélodique, une voie digne d'un chanteur d'opéra, un ténor:
-Au revoir belle demoiselle ! Je suis heureux d'avoir fait ta connaissance, c'était un plaisir.
Je la lâcha et elle rentra dans la Cambden Grill et moi je retourna à mes occupations de vampire, t'elle que se plaisir en draguant de belles jeunes femmes naïves qui tombent dans mes bras et partent avec le sourires et que je ne re-vairé jamais.
RP FINI !
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Sujet: Re: L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon
L'OBSCURITÉ N'ABRITE PAS TOUJOURS LE MAL, NON ? Damon
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